Les races bovines françaises par le site France génétique élevage : cliquez ici pour le site ou ici pour la carte.
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La chèvre est un mammifère domestique herbivore ruminant.
On la trouve souvent dans les fermes aux côtés de la petite basse-cour (poules, oies…).
Son lait permet la confection de délicieux fromages… notamment le Pélardon des Cévennes.
Le cheval est un mammifère ongulé herbivore de la famille des équidés.
Selon son espèce sa taille peut varier de 45cm à 2,50m et son poids de 70 à 900 kg en moyenne !
Selon les races, l’espérance de vie de cet équidé est de 20 à 30 ans mais elle peut parfois dépasser 40 ans.
En compétition, la différence se fait uniquement par la taille :
• plus d’1,48m = cheval
• égal à 1,48m ou moins d’1,48m = poney
Pour certaines races de chevaux comme le cheval Camargue, on parle bien de cheval même si beaucoup d’entre eux ont des tailles de poneys…
On utilise aussi le terme de double poney pour parler de poney de grande taille.
Le bébé de la jument (cheval femelle) et du cheval s’appelle le poulain.
Un mini quiz sur les chevaux et leur environnement pour vérifier vos connaissances.
Trente ans après, je me souviens encore en souriant du jour où la magnifique chatte de ma grand-mère a fait ses bébés dans le lit…
Le chat est un mammifère carnivore de la famille des félidés.
Il est l’un des principaux animaux de compagnie. En France on comptait environ 12 millions de chats en 2014 !
Il existe une cinquantaine de races de chats.
Le chat est un prédateur de petites proies comme les souris, les oiseaux, les lézards… et va même parfois jusqu’à ramener à ses maîtres des lapins de Garenne !
Le chat miaule. Il sait aussi ronronner (lorsqu’on le caresse par exemple) ce qui est un excellent déstressant (il existe même une thérapie à base de ronronnements!).
Amusant : Certains ronronnent avec tellement d’ardeur lorsqu’ils bénéficient de caresses qu’ils peuvent même parfois gêner un peu pour entendre le son de la télévision !
La femelle du chat s’appelle la chatte et son bébé le chaton.
Les bébés chats s’appellent les chatons. Ils sont curieux, débrouillards très rapidement et adorent jouer, ce qui est l’occasion de nombreuses bêtises comme grimper aux rideaux ou renverser tout ce qui traîne, sauter sur tout ce qui bouge…
Le champs de vision total du chat est de 287° (contre 180° pour l’être humain).
Les longs poils présents sur les moustaches, sous le menton… appelés vibrisses, lui indiquent s’il y a des obstacles à proximité, même dans l’obscurité.
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Ils ont un odorat très développé (rappelez-vous de certains chercheurs de truffes qui ont leur cochon fétiche).
Ils ont 4 doigts par pattes et 44 dents et leur espérance de vie est de 25 ans. Ils sont capables de courir à 45km/h.
Les cochons prennent des bains de boue afin d’éliminer les parasites et de se protéger du soleil. Ils aiment également se baigner et ils font leurs besoins à des endroits précis (jamais là où ils boivent et mangent s’ils en ont la possibilité).
Trouvez les 7 différences ! (***difficile) – Réponse ci-dessous
Le chien est un mammifère de la famille des canidés, famille qui comprend le loup gris.
Il existe environ 400 “races” de chiens.
En France, en 2015, il y a environ 7 millions de chiens et 13 millions de chats.
Il existe de nombreuses variétés de lapins nains : Polonais, nain Britannia, bélier nain, nain de couleur, nain Angora, nain Hotot, nain Rex, Angora Anglais…
– les unicolores
– les agoutis : le tour des yeux, des narines, le dessous du menton, de la queue et du ventre sont de couleur différente de celle du pelage
– les variétés avec des marques : les oreilles, le museau et l’extrémité des pattes sont plus foncés
– les variétés à dessin qui présentent des figures colorées sur certaines parties du corps
Quiz lapins
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C’est par hasard que j’ai découvert le monde des cochons d’Inde… Nos gentilles voisines ont eu une portée surprise suite à l’adoption d’une jeune femelle cochon d’Inde en animalerie et elles nous ont présenté les bébés… Deux femelles très mignonnes !
Elles ne pouvaient en garder qu’une et souhaitait que l’autre aille chez des personnes qu’elles connaissaient… vous devinez la suite !
Nous avons réfléchi, puis finalement craqué. Un mois après, début mai 2014, nous voici donc avec Eïko, une superbe femelle cochon d’Inde typée shelty (poils longs qui descendent vers le dos).
Conquis par l’extrême douceur de ce petit mammifère, c’est tout naturellement que nous avons agrandit l’enclos extérieur et constitué une tribu de “chons” (c’est ainsi que certains éleveurs appellent affectueusement leurs cobayes).
Plusieurs femelles cochons d’Inde sont ainsi arrivées pour rejoindre Eïko : Eclipse, MissShoko, Princesse, Caramel, Saba, Elektra, Etoile. Que des filles !
Princesse est née le 20 octobre 2014, c’est une femelle noire poil lisse porteuse tan.
Miss Shoko est née le 31 octobre 2014, c’est une femelle loutre havane.
Elles sont arrivées chez nous le 19 novembre 2014.
Saba est née le 10 février 2015. Elle vient de l’élevage des Cobayes d’Equador et c’est une femelle péruvienne havane, blanc, fauve.
Caramelle est née fin avril 2015 d’une portée de 2. Elle a un frère de la même couleur mais avec 2 épis sur les hanches. C’est une femelle poils lisses de couleur caramel.
Elles sont arrivées chez nous le 27 septembre 2015.
Foin, granulés, vitamine C à la pipette, légumes (endives, carottes, salade, fanes de carottes et radis, fenouil…), fruits (banane, pomme, kiwi, pastèque, melon…) et ce qu’elles adorent par dessus tout, l’herbe fraîche.
Ce sont de bonnes “tondeuses” : lorsque le temps le permet on les lâche dans le jardin au milieu de l’herbe dans leur enclos en zinc (protégé dessus et sur le bas des côtés).
Côté litière, j’utilise de la litière de chanvre car je la trouve douce et très absorbante.
Lorsque je passe pas loin de leur enclos, elles “crient” pour retenir mon attention car elles adorent que je leur ramasse de l’herbe fraîche. Elles sont très gourmandes.
Lors de l’adoption d’Eclipse en août 2014, une toute jeune cochon d’Inde, nous avons eu une bien triste aventure : au bout de quelques semaines elle a donné naissance à 2 très jolis bébés cochons d’Inde (elle était donc pleine lorsque nous l’avons achetée) mais est décédée quelques heures après la mise bas. Nous avons essayé de sauver les bébés : biberon au lait spécial chaton toutes les 2 heures, herbe fraîche, vitamine C, nourriture spéciale… mais au bout de quelques jours l’un d’entre eux est décédé brutalement et le lendemain l’autre aussi. Ce fût un épisode très douloureux pour toute la famille… Apparemment il pourrait s’agir d’une sorte de “toxémie” (?).
2 jours après l’adoption de Princesse et MissShoko auprès d’une éleveuse, des “trous” ont commencé à apparaître sur leur pelage. Diagnostic du vétérinaire : la teigne ! Quelle galère. Heureusement qu’on a pratiqué la quarantaine et qu’on ne les a pas mises avec les autres immédiatement. Comme elles avaient à peine 2 mois, notre vétérinaire a préféré qu’on leur passe de la crème Terbinafine 1% sur toutes les lésions un maximum de fois et au moins 3 fois par jour pendant 3 semaines… Plus désinfection de la cage et des alentours 2 fois par jour car cela peut être contagieux (je crois que j’ai utilisé toute la gamme de produits Sanytol existante : sol, lingettes, linge, mains…). Au bout de 5 semaines (longue les semaines, ça prend du temps cette fichue teigne), les poils ont repoussé presque partout. Ouf, nous voilà sortis de cet enfer.
Décidément, ces petites bêtes sont sujettes à des problèmes cutanées…
2 ans et demi après la teigne voici maintenant la gale !! Visite chez le vétérinaire, traitement au Stronghold chaton pour toute la tribu (7 pipettes soit 49 euros…) plus nettoyage de l’enclos et clapier car la gale ce sont des acariens : donc présents aussi dans l’habitat. Un mois et demi après le traitement il n’y a plus aucun signe de gale sur elles… on croise les doigts pour que cela ne revienne pas !
Lorsque le temps le permet nous sortons les cochons d’Inde de leur enclos pour les mettre dans un enclos mobile : ce sont d’excellentes tondeuses ! 😉
L’âne est un mammifère quadrupède herbivore aux grandes oreilles, de la famille des équidés.
Il brait.
Sa femelle s’appelle l’ânesse et son petit l’ânon.
Leurs sabots sont différents de ceux des chevaux : ils sont plus durs, plus petits et surtout plus verticaux.
En général la queue de l’âne ressemble à celle de la vache : elle est couverte de poils courts sauf à son extrémité qui est recouverte d’une touffe. Mais il peut y avoir des exceptions…
Il existe différentes espèces d’âne : âne sauvage d’Afrique, âne sauvage du Tibet, âne sauvage d’Asie… et l’âne commun (issu de l’âne sauvage d’Afrique) dont plusieurs races sont issues en France telles l’âne du Poitou (Baudet du Poitou), le grand noir du Berry, l’âne de Provence, l’âne des Pyrénées, l’âne du Cotentin, l’âne normand, l’âne Bourbonnais, l’Anko du Perche, l’âne corse.
Près de chez nous, nous avons vu un âne attraper un chevreau par le cou avec ses dents : il l’a violemment secoué et jeté au sol (le petit chevreau ne s’est pas relevé ! ). Cela rappelle qu’il ne faut pas négliger la puissance d’un tel animal.
Lors d’une balade avec des ânes auprès d’une passionnée, j’ai pu apprécier la douceur et l’intelligence de cet animal que je ne connaissais pas très bien. Ma plus petite fille étant fatiguée, la propriétaire m’a proposée de la faire monter sur l’ânesse que j’aidais à promener : inutile de vous dire que la “pitchounette” (“petite fille” en patois de chez moi) était ravie ! Mais au bout d’un moment elle a voulu marcher à nouveau et nous l’avons donc descendue du dos de notre gentille porteuse. L’ânesse était surprise de ne plus l’avoir sur son dos : elle s’est retournée pour la regarder et ne voulait pas avancer… on aurait dit qu’elle voulait l’attendre. Sitôt que la petite s’est remis en marche, l’ânesse aussi ! J’ai découvert des animaux intelligents et doués d’une grande sensibilité.
Dans Mémoires d’un âne, la comtesse de Ségur a mis à l’honneur un âne. C’est ainsi que l’âne Cadichon raconte ses mémoires : expériences vécues auprès de différents maîtres… En fin de compte, la morale de l’histoire dépeint comment le fait d’être bon et aimé rend heureux.
Pour les petits enfants : L’âne Trotro
Pour les enfants : Bourriquet le copain de Winnie l’ourson
Il existe plusieurs sortes de poissons rouges.
Nous avons choisi les poissons rouges queue de voile pour leur élégance.
Nous les élevons dans un aquarium de 180 litres, planté. Ils sont 4 et grossissent assez vite.
Le guppy (Poecilia Regulata), est originaire d’Amérique centrale et fait partie des poissons très faciles à reproduire en aquarium.
L’eau de l’aquarium doit être entre 20 et 28° (nous l’avons mise à 25°). Il est préférable d’avoir au moins 3 femelles pour un mâle.
Nous les avons installés dans un aquarium de 180 litres planté avec des plantes ne nécessitant pas obligatoirement de substrat mais pour lesquelles une épaisse couche de sable de la Loire suffit (Anubia Nana, Vallisneria…).
Les guppys vivent en milieu et en surface d’aquarium. Nous les avons accompagnés de crevettes qui elles peuplent le fond de l’aquarium.
Les mâles et les femelles sont facilement différentiables car les mâles possèdent une nageoire modifiée en organe reproducteur (gonopode) et leurs nageoires sont plus développées et colorées que celles des femelles. De plus le mâle est en général plus petit que la femelle.
Les guppys sont vivipares : c’est-à-dire que les alevins naissent déjà formés et recherchent leur nourriture tout seuls. Nous avons très vite été envahis car la reproduction est incessante… la régulation est difficile au départ.
Ce qui nous a surpris c’est que la femelle venant de pondre essaye de gober les alevins qui passent même si c’est un petit auquel elle vient de donner naissance ! La dure loi de la nature !
Il y a de très nombreuses variétés de couleurs chez les guppys. Nous avions pris le parti de mélanger des souches provenant de différentes animalerie afin d’éviter trop de consanguinité dès le départ. Le résultat des mariages fût très réussi avec de belles formes et couleurs surprenantes.
Les queues des mâles étaient parfois très fournies avec de superbes voiles ce qui les faisait ressembler à des combattants.
Un mini quiz sur les guppys et leur environnement pour vérifier vos connaissances.
Ce type de crevette d’eau douce, de petite taille (3cm environ), est assez facile à élever. Nous avons commencé par 10 crevettes et en 2 mois nous en avions énormément… ce qui a fait le bonheur d’amis qui désiraient en avoir dans leurs aquariums. Nous les maintenions dans un bac communautaire de 180l (un Vision de Juwel) avec des guppys sans aucun problème.
Nous avons acheté nos 10 premières crevettes à un aquariophile amateur qui habitait à une vingtaine de kilomètres de chez nous et qui nous a assuré que c’étaient des Red Cherry. Cependant vu les couleurs de leur descendance, on est sûr qu’il y a eu hybridation avec un autre type de crevettes à un moment donné…
Farouches dans les premiers jours voire les 2 premières semaines, leur timidité s’estompe par la suite et on peut profiter de leurs balais aquatiques à la recherche de nourriture.
Elles attrapent ce qui les intéresse avec leur pattes, et font tournoyer l’objet de leur désir : c’est assez mignon à regarder faire !
Lorsqu’elles nagent, elles font bouger leur pattes comme autant de petites rames : on dirait des cyclistes qui pédalent à fond dans une côte de montagne.
Ci-dessous vous voyez une femelle avec des œufs accrochés sous l’abdomen. A la naissance les crevettes sont minuscules.
Si elles cohabitent facilement avec certains poissons, il faut en revanche que l’aquarium soit bien planté afin qu’elles puissent trouver des cachettes pour ne pas se faire gober.
Les minis aquariums (nano aquarium) sont actuellement à la mode et je trouve intéressant d’en parler car ils permettent d’avoir un petit bout de nature chez soi sans prendre énormément de place. De plus, de nombreuses variétés de crevettes de petites tailles qui existent peuvent y être élevées : Red Crystal, Crystal Black, Red Cherry, Japonica, Neocaridina Blue Velvet… de quoi en prendre plein les yeux avec ces couleurs extraordinaires !
C’est sûr, notre poule naine Sébright a du caractère !
Pour preuve, elle renverse ses graines de mécontentement si on la rentre trop tôt à son goût…
Mais en même temps elle est presque câline pour une poule. On l’apprécie pour sa familiarité : elle se laisse caresser assez facilement, voudrait me suivre partout…
Une fois elle s’est même posée sur le bord de l’évier de la cuisine. Ce qui lui est interdit bien entendu…
Souvent elle essaie d’entrer dans la maison et de se pelotonner sur les marches comme si c’était le moment de dormir pour elle.
Elle fait de jolis petits œufs blancs très bons à déguster.
C’est la première poule que nous avons eu, elle avait alors 1 an. Un éleveur adorable nous l’a offerte. Elle est en pleine forme ! Elle est née en 2007 (elle a 9 neuf ans au moment où je corrige cet article et est toujours aussi espiègle). Elle vit avec ses petites sœurs d’un an de moins.
Mais ça c’est une autre histoire… que vous pouvez retrouver en consultant l’article sur l’incubation artificielle.
Nos poules naines sébright et hollandskriel pondent actuellement très peu. Les premières chaleurs de l’été sont arrivées voici 15 jours et en général cela arrête la ponte… dommage ! Car leurs petits œufs blanc immaculé sont vraiment délicieux.
C’est vrai que ce sont de très belles poules d’ornement mais côté œufs ce n’est pas très productif ! Ils sont plus petits que les œufs de poules pondeuse. Elles pondent très bien en février/mars (quasiment 1 œuf par jour) et puis le reste de l’année c’est aléatoire : elles pondent moins dès qu’il fait chaud et quand il fait froid.
